Depuis plus d’un an et demi maintenant, Julia Vignali est chaque jour aux commandes d’Affaire conclue, émission de France 2 qu’elle anime depuis le départ de Sophie Davant. Les tournages se font dans les studios en région parisienne. Alors, forcément, la pétillante brune de 49 ans est installée non loin. Elle qui est née et a grandi à Paris y vit encore. D’ailleurs, récemment, l’épouse du comédien Kad Merad s’est installée dans un quartier incontournable de la capitale.
Sa vie, elle la partage entre la Bourgogne, région d’attachement où elle a célébré son mariage avec Kad Merad, son pays d’adoption le Maroc et Paris, sa ville de cœur. Auprès de nos confrères du magazine Elle, en kiosques le 20 mars dernier, Julia Vignali s’exprime sur sa relation avec la ville lumière. “Je suis née à Parmentier, dans le 11e, et je n’avais jamais quitté l’Est parisien jusqu’à il y a cinq ans quand je me suis installée du côté de Montorgueil“, déclare la maman de Luigi, né en 2006 d’une précédente relation. Et de poursuivre à propos de ce lieu symbolique de la capitale par ses rues piétonnes, en plein cœur du 2e arrondissement : “J’aime bien les deux facettes de mon nouveau quartier, à la fois bourgeois et populaire.”
D’ailleurs, elle y a ses petites habitudes. Pour dîner, direction Plume, “au-dessus de la Poste du Louvre, l’une de [ses] adresses préférées“. “C’est un endroit chic, mais ce qui me plaît presque plus que ce qu’il y a dans l’assiette, c’est la vue imprenable sur Paris. J’aime y aller pour fêter quelque chose“, poursuit Julia Vignali. Et sa cantine fétiche ? “Toujours dans mon quartier des Halles, j’aime aller Chez Vong. Ce restaurant vietnamien à la déco un peu kitsch propose une cuisine élaborée et délicieuse. J’y vais toujours quand le frigo est vide !” Et bien sûr, celle qui a pleuré la mort de Glorian Kabongo, acheteur d’Affaire conclue emporté à l’âge de 57 ans, a son adresse fétiche pour faire la fête : “Un de mes amis tient Le Melville. C’est un bar musical assez confidentiel où l’on peut boire un verre en afterwork et prolonger la soirée en grignotant. Il y a souvent des concerts de jazz de très bonne qualité.” Pas de quoi s’ennuyer !
